R.I.P. Claudia Plikat, designer de Herman Miller qui vient de décéder

la designer Claudia Plikat

Celui qui écrit ne connaissait pas personnellement Claudia Plikat, mais seulement les fruits de son travail passionné, efficace et bénéfique. On pense que ceux qui sont croyants, juifs, musulmans ou chrétiens, croient que le bien qu’elle a fait à l’humanité aussi à travers son design et ses conceptions de mobilier de bureau demeurera pour l’éternité avec elle et tous en Dieu. Pour ceux qui ont d’autres convictions, comme pour tout un chacun, nous sommes surs que les designs savants et créatifs de Claudia continueront d’apporter de bonheur à leur vie.

Maintenant, je donne la parole à Claudia, via une interview de Marion Godau, adaptée de http://www.roericht.de/_ID_IV/_interview.php?idnum=6 en date 31-10-2003 :

Comment expliqueriez-vous à quelqu’un d’autre de votre travail?
Nous travaillons actuellement avec 7,5 sur un mécanisme d’auto- ajustement de la rotation synchrone de la chaise Mirra ( Herman Miller) . Le principe : vous vous asseyez et vous êtes automatiquement  » pesé  » . La chaise s’adapte alors à l’individu. Nous travaillons également sur des extensions pour la Mirra pour le secteur de la conférence.

Pouvez-vous mentionner des travaux ou d’événements qui revêtent une importance particulière pour vous?
Vu que les concepteurs sont intrinsèquement équipés d’un niveau particulièrement élevé de curiosité, je ne peux pas nommer une zone spécifique ici. Je m’intéresse à l’ensemble de ce qui est sous le terme conception. Par conséquent, nous travaillons également avec 7,5 sur des projets très différents, nos produits vont de la conception d’interface au développement de produits traditionnels. Notre force motrice derrière tous ces projets est de résoudre des problèmes et apprendre sans cesse de nouvelles choses, c’est d’élargir notre répertoire. Nous sommes ici dans la façon dont nous travaillons très influencé par Nick Roericht : Nous fournissons seulement le briefing d’une question pour déterminer déterminer où le client vraiment « appuie sa chaussure » et nous allons de l’intérieur vers l’extérieur en face des rouages ​​techniques internes de la figure, et on fait abstraction de la fonctionnalité. Alors nous nous demandons: Quel sera le monde dans 5 ou 10 ans? Notre conception est toujours compatible avec des changements dans les milieux de vie et de travail ?